Depuis maintenant quelques temps, j’entretiens une relation virtuelle sur fessestivités avec un Maitre…Ce dernier m’impose (entre autre chose…) d’imaginer des scénarios dans lesquels Il s’installe chez-nous pour des périodes plus ou moins longue …Le Maitre se sert alors de ma femme comme chienne sexuelle et je suis le cocu… leur larbin…Aujourd’hui, je dois écrire une suite en étant godé et encagé, vêtue d’un étroit corset, d’une culotte en latex et d’une paire de bas : C’est ma punition pour lui avoir désobéi…Résumé de « l’épisode » précédant : « Maitre est revenu chez nous ; Il souhaite disposer de sa « femelle » et j’installe ma femme (qui ne demande que ça !) sur le « banc à baiser » dans le salon…Elle est en train de le sucer et j’essaye de participer mais elle m’intime l’ordre de lui lécher plutôt le cul…»« Frustré, je m’exécute…elle est trempée et je n’ai aucun mal à lubrifier sa rondelle…aveuglé par ses fesses, je ne peux que la sentir palpiter de désir et entendre ses bruits de succions, la salope a l’air de se régaler…je m’applique à la préparer, lui lèche la chatte et enfonce ma langue au plus profond de son cul …D’une bourrade, le Maitre me fait dégager : « tire-toi de là et fout lui ta bite dans la gueule, j’ai pas envie de l’entendre ! » Je me lève d’un bond : je vais être libérer et pouvoir jouir moi aussi !!!Je dégage le collier porte-clefs du cou de ma femme… « Mais qu’es que tu fous cocu ?! Tu crois tout de même pas que tu vas prendre ton pied ?! Je t’ai dit de l’empêcher de crier !!! »Dépité, je présente ma queue encagée à ma femme qui me fusille du regard : elle aime bien « exprimer » son plaisir et même si je ne fais qu’obéir, je vois bien qu’elle me rend responsable de ce désagrément ; Je suis obligé de lui forcer la bouche pour qu’elle me prenne (je crois que les barreaux de la cage me protège d’une éventuelle morsure !)Très vite elle s’en accommode et continue à subir avec délice les assauts du Maitre…je sens la chaleur de sa bouche, sa salive se mélange à mes suintements et lubrifie ma queue… ses coups de rein la projette sur ma bite douloureusement à l’étroit…je suis au comble de la frustration mais je me demande si je ne vais pas réussir à décharger tant il est bon d’être dans sa bouche et de les voir prendre leur pied …Malheureusement pour moi mais visiblement pour leurs plus grand plaisir ils explosent tous deux dans une jouissance qui semble extatique…D’un claquement de doigt, le Maitre me rappelle à mes fonctions : Je me mets à genoux devant lui et entreprend aussitôt de nettoyer de ma langue sa queue encore gonflée… puis c’est au tour de ma femme qui râle déjà d’être encore entravée…« Bon, toi le cocu, tu m’habille la femelle pour la soirée, tu sais ce que j’aime lui voir porter ok ?! et toi quand il auras fini tu le range, j’ai plus besoin de lui !! »Nous nous éclipsons dans la chambre, pardon, leur chambre en le laissant siroter son apéro…Je sais quelle tenue le Maitre aime…elle aussi, mais ce n’est pas sa préférée et là encore, je vois dans son regard qu’elle me rend responsable…Je sors de l’armoire un superbe corset victorien de satin noir agrémenté de dentelles mauves ainsi qu’un collier-minerve du même tissu. J’entreprends de le lui lacer étroitement pour comprimer sa taille… « Pas trop, j’étouffe !! » … Je n’ai cure de sa remarque car je sais ce qui m’attend si ce n’est pas bien fait ! …je lui mets son collier et termine en lui enfilant une paire de bas résille et des escarpins à talons aiguilles. Ainsi parée, elle est superbe : Ses fesses rebondies et ses seins arrogants en font une femelle torride!!« A ton tour maintenant ! » dit-elle en me mettant ma laisse habituelle.Je pense être bêtement mis au lit dans la chambre d’amie que j’occupe maintenant depuis longtemps lorsque je vois que nous allons à la cave !!!La cave…cette pièce spécialement aménagée sur les ordres du Maitre à l’époque où il avait entrepris de prouver à ma femme que j’étais non seulement un cocu consentant mais aussi une lopette, une souillon, une truie dont le seul but est d’obéir sans broncher…Je me souviens qu’une fois ma semaine de dressage terminée, ma femme n’as plus eu aucun doute sur ma nouvelle condition et s’en est définitivement arrangée…La cave est une pièce sans fenêtre, équipé comme un donjon…voire plus…Elle se dirige vers la table d’examen (acheté d’occasion et enrichie de sangles à cadenas)« Grimpe là-dessus et met tes pieds sur les étriers !! »Je m’exécute sans dire un mot en regrettant de l’avoir mise dans cet état… Elle me sangle sévèrement : pieds, cuisses, bras, torse, tète… Je ne peux plus bouger…« Ça c’est pour le corset !! »...Puis elle attrape un plug sur l’étagère, le lubrifie (merci !!) et me l’enfonce sans ménagement… « Ça c’est parce que j’ai bien vu que t’en voulais dans le cul sale cocu!! »Satisfaite, elle fait rouler la table d’examen vers le fond de la cave….et là, je sais où je vais passer la nuit….Elle ajuste la table pile sous l’évacuation des toilettes de la maison…je l’ai juste au-dessus de la figure… Elle entreprend d’en dévisser la bonde me met entre les mains le petit coffre- minuteur où sont les clefs des cadenas (et qui me sert chaque matin à quitter mon collier sans les déranger).Elle éteint et ferme la porte en disant d’une voix mielleuse : « Bonne nuit!! Demain, petit déjeuner à 8h…propre et en tenue bien sûr !!»Seul dans le noir, je sais que la seule lumière viendra de là-haut, quand l’un ou l’autre aura besoin de se soulager…La soirée et la nuit vas être longue….Ont-ils décidé de sortir, de rester ici ? Une seule certitude : le maitre vas « remettre le couvert »…. J’essaye de me détendre pour ne pas m’ankyloser dans mes liens et je repense à l’époque où le Maitre s’est installé dans notre vie….